L'édito
La nouveauté
La nouveauté est mise à toutes les sauces : pas toujours de bon goût ou galvaudée pour nous vendre bien des rêves. Pourtant, le comité rédactionnel de notre journal a choisi ce thème comme fil conducteur de son premier numéro.
La version papier des « Murmures de la Fontaine » a laissé place à « La plume luDIC », en ligne. Interactif et jonglant avec les talents des élèves du collège, ce nouveau projet se veut résolument pétillant.
Si son nom évoque le jeu, c’est certainement parce que ses aventuriers étaient désireux d'en être avant tout par plaisir. Cela étant, nos rubriques varieront sur les tons plus sérieux qu’exige un comité rédactionnel digne de ce nom.
Mensuellement, vous découvrirez le journal en cours, les précédentes éditions resteront archivées dans l’onglet ad hoc.
Dans le « janvier 2024 », vous découvrirez les premières rubriques qui évolueront certainement et se complèteront inévitablement au fil du temps:
- Les portraits vous présenteront divers membres de la communauté du DIC.
- Le petit déclic sera l'occasion de visionner les reportages de certaines activités qui rythment la vie de notre établissement.
- Le podcast assurera en audio et en épisodes un sujet qui nous tient à coeur.
- Le coup de pouce nous permettra de faire la promotion des entreprises qui existent en nos murs.
- La carte blanche et optimiste, comme son nom l'indique, accordera un moment de réflexion constructive qui fait du bien sur un sujet habituellement plutôt pesant.
- Le petit pas, la goutte d'eau et le colibris, en référence au premier pas sur la lune, la goutte dans l'océan et l'oiseau qui éteint l'incendie, ce sera notre rubrique où, plutôt que de déplorer et/ou avoir peur, nous proposerons des petits gestes du quotidien pouvant nettement améliorer nos vies. On est nombreux, on peut faire la différence! Comme l'écrivait si bien Victor Hugo: "Il faut étonner la catastrophe par le peu de peur qu’elle nous fait." Soyons optimistes et résilient.e.s!
Sommaire du numéro 1:
Un autoportrait des membres de la NEW plume team, un podcast tout NEW sur ce que représente notre journal, un NEW coup de pouce publicitaire pour la chorale, des interviews enregistrées des NEW présidents de niveaux, le NEW générique d'une émission de reportages, des NEW enregistrements d’élèves de première, un NEW point de vue positif sur l'éco-anxiété, une NEW idée citoyenne proche de vous, même si elle se passe en dehors de l'enceinte scolaire.
Chaque jour est un jour nouveau et nous avons vraiment hâte de vous informer sur le quotidien du collège. La plume luDIC sera imparfaite et c’est tant mieux ! Pour reprendre les mots de Monica Neagoy « Sans l’erreur on n’apprend pas » Pour plus de détails, écouter et regarder la vidéo "Quotidien avec Yann Barthès"
A nos nouvelles erreurs, donc et longue vie à La plume luDIC! Au passage à 2024, cet an plus si neuf… mais bonne année tout de même !
Maud Nizet, pour l'équipe.
Les portraits
Le petit déclic
• Qui êtes-vous ?
2. Ronan Champeau
4. Raphaël Bassilli
5. Amal El Boujjoufi
6. Juliette Biémar et Noah Chapelle
• Quelles sont les initiatives dont vous souhaitez la mise en place ?
2. Nous sommes en train de mettre en place des affiches de sensibilisation par
rapport à la dégradation des toilettes.
4. Diversifier les repas à l’école, plus de repas chauds et le wifi disponible à l’étude mais dans quelques années. Pour l’instant c’est tout. Le seul problème qu'on a, c’est le budget de l’école et les projets peuvent coûter cher et prendre du temps.
5. Mettre une fontaine d’eau à l’intérieur de l’école.
6. Nous avons cherché une alternative pour les heures de fourche et, donc, dans le
futur, nous aurons accès à l'ancien réfectoire comme local spécial pour les
rhétos. C’est vraiment le gros projet de l’année.
• Est-ce que vous appréciez ce travail ?
2. Oui, ça nous permet de nous rapprocher de personnes d'autres années.
4. Bien sûr !
5. Oui, car c’est chouette de pouvoir partager les idées des élèves et de les représenter.
6. Être à deux ça rajoute du peps et plus d’énergie ! C’est mieux que tout seul !
• Est-ce que c’est un travail compliqué ?
2. Non, c'est n’est pas très compliqué mais il faut beaucoup écouter.
4. Absolument pas, quand tu aimes un travail tout est simple !
5. Non.
6. Ce n’est pas très compliqué car on le veut, mais, ça prend quand même du
temps. C’est surtout de la discussion.
• Y a-t-il des choses que vous ne pouvez pas communiquer aux élèves ?
2. Non, il faut communiquer avec les élèves cependant s’il y a des projets qui ne
sont pas du tout certais, il ne faut pas leur faire de faux espoirs.
4. Absolument pas.
5. Non, car la communication est très fluide avec les autres élèves.
6. Non justement, on est des porte-paroles et si on commence à faire des
cachotteries, ça perd tout son sens.
• Est-ce que c’est difficile de se faire entendre auprès des professeurs ?
2. Non, mais ce n'est pas à eux qu'on parle en priorité même si certains nous aident.
4. Non, les profs sont là pour être à notre écoute et nous aider si on a des questions.
5. Non, parce qu’ils sont attentifs, compréhensifs et à l’écoute.
6. On ne parle pas avec les professeurs. Avec la direction c’est assez dur car ils sont
fort pris donc c’est difficile d’avoir un rendez-vous. Pourtant ils sont super
ouverts à plein d’initiatives qu’on propose ; malheureusement pas toujours à la
mise en place. Au moins, ils écoutent tout ce qu’on dit !
Propos recueillis par Clarisse, Soha, Brian et Annaëlle.
Post sciptum:
Le président de niveau des troisièmes
Ce mois, nous avons eu la chance de pouvoir interviewer Saïkou le président de niveau des troisièmes. Nous lui avons donc posé plusieurs questions.
-
Quelles sont les initiatives dont tu souhaites la mise en place ?
-
Je souhaite mettre en place un assouplissement du règlement de l’école.
-
Est-ce que tu apprécies ce travail ?
-
Oui, cela ne me dérange pas car je ne prends pas ce rôle comme un travail mais comme un plus sur ma scolarité.
-
Est-ce que c’est difficile d’être président de niveau ?
-
Non, nous ne faisons que des réunions.
-
Y a-t-il des choses que tu ne peux pas communiquer aux élèves ?
-
Oui, mais seulement lorsqu’elles sont encore en discussion.
-
Est-ce que c’est difficile de se faire entendre auprès des professeurs ?
-
Non.
Interview des présidents de niveaux
Les élèves de première donnent leurs impressions sur la transition primaire/secondaire
Enregistrements et entretiens réalisés par Elena, Clarisse et Estelle.
Le coup de pouce
Pub réalisée par Estelle.
La carte blanche et optimiste
Êtes vous inquiets vis-à-vis de l’avenir de la planète ? Il y’a d’énormes chances que la réponse à cette question soit oui. Ce sentiment est quasi omniprésent parmi la population, et pour cause, le poids des problèmes climatiques, les catastrophes environnementales, telles que la fonte alarmante des glaces, la dégradation de notre Terre a de quoi préoccuper le plus grand nombre et peut donner un sentiment d’impuissance.
Bien sûr, je ne suis pas là pour vous dire que tout va bien et qu’il n’y a aucun problème, car évidemment, nul ne peut nier que la situation est plus que critique. Toutefois, des initiatives encourageantes de personnes « lambdas » émergent dans le monde entier. Des communautés et pays investissent dans les énergies renouvelables et militent pour des politiques environnementales plus strictes, comme la Scandinavie, le Costa-Rica (où 98% de l’électricité produite est « verte »), l’Islande, et, curieusement, la Chine, pays utilisant le plus d’énergie solaire au monde. En prenant exemple sur ces pays (plus modérément concernant la Chine tout de même), nous pouvons tous arriver à une émission bien moins importante de substances nocives pour le climat.
En outre, les innovations technologiques, telles que les véhicules électriques, l’entreprise Cocopallet, au Pays-Bas, qui a développé des palettes de bois de coque de noix de coco. Je noterai aussi par exemple la startup C16 qui travaille sur un projet de remplacement de l’huile de palme. De manière générale, plein d’innovations et d’entreprises pleuvent pour s’atteler à la résolution de problèmes environnementaux comme la pollution des océans, le gaspillage alimentaire ou encore la propreté des grandes villes. Ces efforts, si maintenus, promettent un regain de biodiversité et une préservation de notre patrimoine naturel.
Parallèlement, à une échelle plus individuelle, des mouvements tels que les grèves pour le climat et les initiatives de sensibilisation contribuent à amplifier la voix de citoyens conscients. Ces actions collectives prouvent que la volonté d’agir est réelle et que des changements significatifs peuvent avoir lieu par le biais de la mobilisation citoyenne, c’est notamment grâce à ça que Greta Thunberg est aujourd’hui devenue une ( si ce n’est LA) figure si emblématique de la lutte pour le climat.
En fin de compte, l’éco-anxiété est la force motrice qui nous pousse à agir pour changer les choses, en canalisant cette préoccupation en actions positives. Chacun de nous peut contribuer à la construction d’un avenir plus durable, que ce soit par des choix de consommation éclairés ou en soutenant des initiatives écologiques. Le défi est grand, mais la volonté humaine de protéger notre seule et unique planète l’est plus encore.
Lenni.
Le petit pas, la goutte d'eau & le colibris
"Si chaque matin
On respirait moins mal
On respirerait enfin"
Merci de ne plus laisser tourner vos moteurs lorsque vous êtes à l'arrêt aux abords de l'école.
Signé: les 2000 poumons du DIC.